Des choix inacceptables faits au détriment du fret ferroviaire abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3766

À l’état de projet depuis 2009, la réalisation de la Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan (LNMP) doit concilier impératif écologique et intérêts des usagers, estime l’Asseco-CFDT régionale. Elle a, en ce sens, contribué à la concertation de SNCF Réseau sous l’égide de la Commission nationale du débat public.

Par Guillaume Lefèvre— Publié le 23/02/2021 à 13h00

La Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan : 150 km de ligne à grande vitesse, 30 km de raccordements au réseau existant, deux nouvelles gares (Béziers Est et Narbonne Ouest) et des sections de ligne mixte faisant cohabiter trains de fret et de voyageurs.
La Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan : 150 km de ligne à grande vitesse, 30 km de raccordements au réseau existant, deux nouvelles gares (Béziers Est et Narbonne Ouest) et des sections de ligne mixte faisant cohabiter trains de fret et de voyageurs.© SNCF Réseau

« Il est important de s’assurer que les impératifs écologiques, sociaux et sanitaires sont conciliés avant d’engager un chantier européen chiffré à plus de 5 milliards d’euros ! », explique Joan-Loís Escafit, militant CFDT et coresponsable du groupe de travail mobilité-transport de l’Union régionale des associations études et consommation CFDT d’Occitanie Pyrénées-Méditerranée (Asseco-CFDT Oc PyréMed), en réagissant à la préparation d’une enquête publique en première phase pour construire en 2025 le tronçon Montpellier-Béziers. « Or, aujourd’hui, les choix faits au détriment du fret ferroviaire sont…

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