Hôtels-cafés-restaurants : un accord APLD est-il encore possible ? abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3768

Le 2 mars, les organisations syndicales de la branche HCR étaient reçues au ministère du Travail pour lever les freins à l’accord d’activité partielle de longue durée invalidé à la suite du droit d’opposition exercé par deux d’entre elles. Signataire, la CFDT appelle chacun des acteurs à la responsabilité pour les 740 000 salariés du secteur.

Par Anne-Sophie Balle— Publié le 03/03/2021 à 15h37 et mis à jour le 02/06/2022 à 09h58

Particulièrement impacté par les mesures de restrictions sanitaires, l’hôtellerie-restauration (740 000 salariés) est sans doute l’un des secteurs où l’activité partielle de longue durée se justifie le plus.
Particulièrement impacté par les mesures de restrictions sanitaires, l’hôtellerie-restauration (740 000 salariés) est sans doute l’un des secteurs où l’activité partielle de longue durée se justifie le plus.© Laurent Grandguillot/RÉA

[Dernière minute] Une voie de sortie

Après avoir été reçues à leur tour par la ministre du Travail le 3 mars, les organisations patronales de la branche HCR (hôtels-cafés-restaurants) ont accepté de relancer la négociation sur l’activité partielle de longue durée. Face à l’opposition de deux syndicats, l’accord trouvé en novembre 2020 avait été invalidé quelques jours seulement après sa signature. « Cette nouvelle négociation ne pourra pas être conditionnée à l’encadrement de la rémunération des dirigeants », qui constituait l’un des motifs d’opposition au précédent accord, a…

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